Eh bien je vous le dis tout de go, si vous me croisez aujourd’hui, vous serez chanceux car je suis d’excellente humeur ; la raison en est que je viens d’acheter mon nouvel agenda 2025. J’avais inutilement noté ça sur l’ancien, je n’oublie jamais ce petit rituel annuel qui me ravit.
Une trop grande joie pour un si petit plaisir, allez-vous chicaner. Alors là, je vous arrête tout de suite. L’agenda n’a rien d’un objet ordinaire, il manque d’ailleurs une philosophie de l’agenda. Je lis ici ou là qu’il sert à organiser son temps, permet de le planifier et l’optimiser, il aide à la gestion de notre vie, à la priorisation de nos activités… quelle horreur ! Parle-t-on de la même chose ?
Pour le dire en un mot – mais je développerai cela, c’est déjà noté sur mon nouvel agenda – c’est une puissance ontogénique, bon, ça c’est assez évident, mais de surcroit c’est un antidote réticulaire et poétique. Et bam ! Soit, mais antidote à quoi ? Antidote au poison de l’un et au virus de la substance.
Là je vous sens très impatients de lire la suite, oui mais il faudra attendre un peu. Une ou deux pages.