24 avril 2011
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La mort est comme le trait de l’addition qui marque le temps du bilan ; et l’on saura, chiffres à l’appui, si la recette a été bonne. Elle est le point en fin de phrase qui indique le temps de la lecture ; et l’on saura, textes à l’appui, si l’écriture a été belle.
Mais le point ni le trait, sentinelles sans pitié, n’autorisent le retour ni l’ajout. Et comptables et lecteurs, toujours, sont toujours étrangers.