29 novembre 2012
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Saurais-tu sculpter le creux de la vague et pourrais-tu me dessiner une nuit blanche, comment traduirais-tu, ô poète, la rumeur des âges et l’ivresse des sens, saurais-tu chanter la peur du silence ou le sourire de la vie ou l’envol du cœur ? Il te reste tant à faire, berger du sens et gardien des chants, il te reste tant à faire, toi qui portes le monde, toi qui veilles et qui ouvres.