5 janvier 2008
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Il faut, quand on est e-écrivain, oser la bêtise la plus pitoyable, le médiocre et le salace, le putassier graveleux, les âneries et les inepties, ou bien se résoudre à n’être lu que par les très incultes robots de Google qui, contre toute attente, ne sautent pas les aphorismes métaphysiques, eux.