30 juillet 2020
4
30
/07
/juillet
/2020
02:58
Je n’ai pas assez de patience, alors je rentre écrire, mais je n’ai pas assez de force, alors je sors vivre. Et je fais ainsi, d’incessants va-et-vient, entre le monde et mon bureau. Voici la cause, sans doute, de la nature nomade de mon esprit et du joli galbe de mes mollets.