20 avril 2019
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« La vieille au fichu noir finit par mourir, un matin de novembre. Elle emporta dans sa tombe le mystère de la bougie allumée tous les mercredis soir après minuit qui annonçait, immanquablement, le bal des ombres et le concert de miaulements déchirants. »
Voici un bien bel explicit, dramatique et fécond, qui signe un roman qui chahute. Hou ! j’en frémis de curiosité… je me demande bien comment tout cela pourrait commencer.