4 octobre 2017
3
04
/10
/octobre
/2017
02:48
Allez, il faut bien l’avouer finalement, l’écrivain de « restes » est un paresseux dont tout le génie le talent (excusez-moi, c’est l’approche du prix Nobel qui me trouble) réside dans la capacité à déléguer le travail d’interprétation.