Les Restes du Banquet ont six ans aujourd’hui.
Merci aux fidèles, aux infidèles, aux inconstantes, aux pérégrins, aux clandestins, aux blog-trotteurs délicats, aux surfeuses polyphages, aux dames errantes, aux hommes de l’être et du devenir, aux ponctuels qui ‘intermittent’, aux matineuses qui interviennent, aux occasionnels (qui entrent par derrière, par hasard, par erreur, par une oreille, par groupe de deux ou par un dimanche d’octobre), aux périodiques (qui oublient d’éteindre en sortant), aux addicts (qui dorment sur place – on n’en a jamais vus mais des indices nous laissent penser que…), aux papillonneurs éphémères, aux saisonnières frugales, aux liseurs voraces, aux plagiaires qui m’honorent, aux décodeurs qui m’étonnent, aux correctrices qui m’obligent, aux poètes qui m’inspirent et merci à Marie-Rose Robert.
[Dites, elles ne seraient pas un peu fanées, les deux roses en haut à droite ? Je veux bien arroser, mais je ne sais pas où mettre l’eau.]