Girafe, un jour, croisa Tortue. On était le 27 mars et c’était exactement la veille du jour où le vieux Marcellin Labrousse devait réparer sa mobylette. Le ciel hésitait ; de gros nuages passaient lentement mais sans s’installer et on n’aurait su dire s’il faisait froid ou chaud. La boulangère était à l’heure, elle vendrait probablement assez rapidement ses baguettes appétissantes. Girafe, en rentrant chez elle ne croisa pas Tortue : elle ne s’en étonna pas. Une mobylette plutôt bruyante s’arrêta devant la boulangerie.
Ah, cette fois je le tiens mon incipit. Je n’ai pas encore la suite de ce roman à rebondissements mais je sens qu’il va me passionner.